Des pépites de la comédie française à l’affiche du festival « Oh La La! » Festival – Culture d’Israël

Parfois, il n’y a rien de mieux qu’une comédie française légère pour bannir le blues, et vous pouvez voir des joyaux gaulois nouveaux et classiques à travers le pays au Oh La La ! Festival de la comédie française, dès le 21 novembre.

Les films seront projetés sur différents week-ends, en commençant à la Cinémathèque de Sderot et à la Cinémathèque de Haïfa le jour de l’ouverture. Haïfa présentera ces films le week-end du 28 novembre, et ils seront également projetés ce week-end à l’Auditorium Ennis à Jaffa.

Louis de Funes est vénéré par beaucoup comme le plus grand comédien français de tous les temps, et le festival présentera l’un de ses plus grands succès, Les Folles Aventures du Rabbin Jacob, un classique burlesque de 1973 sur un fanatique français fuyant les gangsters et la police. qui se fait passer pour un rabbin. Réalisé par Gérard Oury, le film est construit autour d’une douzaine de décors comiques, comme lorsque le héros doit exécuter une danse traditionnelle juive.

Le casting de soutien est de premier ordre et comprend Marcel Dalio (La Règle du jeu, Avoir et ne pas avoir) et Miou-Miou (Entre Nous). Une grande partie de l’humour est politiquement incorrect selon les normes actuelles, mais cela ne le rend pas moins drôle. La Cinémathèque de Tel Aviv projettera Les Folles Aventures du Rabbin Jacob le 28 novembre et ce film bien-aimé sera également projeté à Haïfa.

On a du mal à comprendre l’intérêt des tests ADN – je n’ai pas besoin de dépenser 40 dollars pour savoir que je suis juif ashkénaze à 98 % – et Julien Hervé, le réalisateur de Cocorico, le film d’ouverture du festival, a exposé le concept de ces tests à bon escient en l’utilisant comme base d’une comédie. Chloé Couloud est une jeune femme issue d’une famille aristocratique qui se fiance avec un roturier (Julian Pestel), dont le père (Didier Bourdon) possède une concession automobile.

Pour tenter de briser la glace entre leurs familles très différentes, les jeunes couples présentent à leurs parents des tests ADN qui, selon eux, seront une façon amusante de se connaître. Si vous avez déjà vu une comédie, vous devinez ce qui s’en vient, et il s’avère que personne n’est aussi français qu’on le croit. Outre Bourdon, le film met en vedette Christian Clavier dans le rôle du père aristocratique, et Sylvie Testud et Marianne Denicourt dans le rôle des mères.

UNE SCÈNE de « Lucky Winners ». (crédit : EDEN CINEMA)

Comédie cinématographique française

IL EXISTE un genre de comédie que l’on pourrait appeler « Il n’est jamais trop tard pour se ridiculiser », et Never Confess d’Ivan Calberac (son titre français est N’avoue Jamais) entre dans cette catégorie. Il raconte l’histoire d’un général militaire à la retraite (André Dussollier, qui était dans Un très long engagement), qui devient fou lorsqu’il découvre que sa femme (Sabine Azema, surtout connue pour Un dimanche à la campagne de Bertrand Tavernier), l’a trompé. Il y a 40 ans. L’ex-générale part sur la Côte d’Azur pour retrouver son ancien amant (Thierry Lhermitte, que vous reconnaîtrez peut-être dans Le Divorce et Le Diner de Cons).

Le titre ironique de Romain Choay et Maxime Govare, Lucky Winners, raconte comment les gagnants de la loterie voient leur vie prendre des directions qu’ils n’auraient jamais imaginées à la suite de leurs gains exceptionnels, une prémisse similaire à la série israélienne Six Zeros, diffusée l’année dernière.

Les Petites Vacances de Bruno Podalydes (alias La Petite Vadrouille) met en vedette deux des plus grandes stars françaises, Sandrine Kiberlain et Daniel Auteuil, qui ont déjà joué face à face dans L’Autre Femme dans le rôle d’un couple en difficulté qui organise ce qui est censé être une croisière romantique. pour une riche connaissance. Le prolifique réalisateur a réalisé des succès tels que The Sweet Escape et Versailles Rive-Gauche.

Laurent Tirard a été l’un des plus grands réalisateurs de comédies français pendant de nombreuses années, réalisant des films tels que Molière et Up with Love, mais malheureusement il est décédé plus tôt cet automne. Le festival projettera son dernier film, Good Heavens ! et cela ressemble à l’un de ses meilleurs.


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Cinq religieuses décident de remporter le premier prix d’une course cycliste, ce qui leur donnera les fonds nécessaires pour rénover l’hospice où elles travaillent. Le seul problème est qu’elles ne savent pas faire de vélo et il s’avère qu’elles ne sont même pas les seules religieuses à participer à la course. Il met en vedette Valérie Bonneton et Sidse Babett Knudsen (Borgen).

Le Panache, réalisé par Jennifer Devoldere, raconte l’histoire d’un garçon qui a un problème de bégaiement et qui a du mal à s’adapter à une nouvelle école, jusqu’à ce qu’un professeur charismatique intervienne pour l’aider. Aure Atika, qui incarnait Simone la veuve sexy dans Tourner à gauche au bout du monde d’Avi Nesher, incarne la mère du garçon.

Certains films sortiront dans les cinémas d’Israël après le festival. Le festival est présenté par Eden Cinema et New Cinema et est parrainé par L’Occitane. Caroline Boneh a organisé la programmation du festival.

Pour connaître la programmation complète et pour commander des billets, rendez-vous sur les sites Internet des théâtres.